À quel point le luxe est-il affaire de design ? Qu’il s’infiltre dans le quotidien ou le haut de gamme, son association avec le luxe réside dans la capacité à transcender la fonctionnalité pure pour toucher à l'exceptionnel, à l'unique, et souvent à l'intemporel. Le succès d’Apple (marque de luxe ?) aurait-il été le même sans Jony Ive, passé maitre dans la faculté à créer des objets de désir vendus à prix d’or ?
Chez Jaguar Land Rover, le designer en chef est n°2 du groupe, reflétant la place prise par le design au sein de l’entreprise dont l’objectif est de créer toujours plus de désirabilité, nouvel impératif du luxe. Et croyez-le ou non, il est soucieux de durabilité. Comme vous vous en apercevrez à la lecture de notre interview de une. En voiture !
Luxe et durabilité. Voici deux concepts qui se rencontrent et parfois se confrontent. Avec son programme Reimagine, devant conduire le groupe vers le zéro émission de CO2 en 2039, Jaguar Land Rover (JLR) ambitionne de concilier respect de l’environnement et prestige. Une démarche emblématique d’un secteur où l’innovation en matière de durabilité devient un critère de luxe à part entière.
Toutefois, l’équilibre est délicat. D’aucuns railleront la taille ou le poids de voitures en totale déconnexion avec les enjeux climatiques. Le luxe automobile a longtemps été synonyme de puissance et d’exclusivité, souvent au détriment de considérations écologiques. Aujourd’hui, JLR, comme d’autres marques, navigue entre ces attentes parfois contradictoires – les SUV ne sont-ils pas la catégorie de voitures la plus vendue en Europe ? – et des réglementations toujours plus contraignantes.
Michaël Pierre, directeur de la communication de Jaguar Land Rover, nous explique comment le groupe réinvente sa communication autour de 4 marques à part entière, mais aussi son approche produit pour s’aligner sur les nouvelles attentes en matière de luxe, de durabilité et de personnalisation où l’expérience client devient centrale.
Bravo à Taylor Swift, fraichement milliardaire, et cela, grâce uniquement aux revenus de sa musique (les ventes, et surtout, la tournée mondiale). C’est la première artiste musicale à réaliser ce coup de maître. D’autres, comme Jay-Z, avaient déjà réussi une telle performance patrimoniale, mais via leurs investissements. Comme quoi, on peut encore vivre de la musique !
la Réclame
Chaque jour, le meilleur du marketing et de la communication.
https://lareclame.fr